Sujet: leo — long hard road out of hell Jeu 3 Mai - 21:00
feat ϟ jared leto, tumblr
leo seán
flanagan
nom prénoms: flanagan, leo seán âge: 27 yo anniversaire: 19 mai 1985 origines: irlandaises, anglaises orientation sexuelle: bisexuel profession ou année d'études: professeur de potions sorcier/ancien moldu/créature: sorcier nature du sang: sang-mêlé connaît la magie depuis: toujours possède une baguette: de façon légale patronus: un loup gris épouvantard: une cacophonie d'insultes
ϟ show me some magic !
Son rêve le plus cher ? Guérir de sa lycanthropie. Il s’accroche fermement à cet espoir, convaincu qu’un jour, un vrai remède sera découvert, un remède qui chasse la bête, qui lui rende son humanité atrophiée. Cela dit, avant, Leo rêvait pas mal. Les rêveries font partie de sa nature. Il avait des souhaits réalisables, d’autres non, parmi lesquels un tour du monde en balai, partir en Asie, lutter pour les droits des créatures magiques, inventer une potion révolutionnaire, s’amuser jusqu’à en crever, profiter de la vie… Il a toujours été optimiste. Même aujourd’hui. Même s’il sait que la plupart de ses ambitions ne sont plus qu’utopiques.
ϟ can i get on your magic bus ?
Ce fut la douleur qui le réveilla. Lancinante. De l’acide coulant dans ses veines gonflées. Un cœur affaibli alimenté par la peur, l’angoisse. Assis sur son lit, les membres tremblants, Leo tentait de réguler sa respiration saccadée à coup de grandes bouffées d’oxygène. Tremblant, il porta une main lasse contre son front recouvert d’un film de sueur et laissa ses paupières se refermer sur les deux grosses billes azurines zébrées de vaisseaux sanguins. La nuit était silencieuse. Un quart de lune solitaire flottait dans le ciel, quelques faisceaux de lumière balayaient parfois l’intérieur de son studio, mais il ne pensait qu’aux pulsations cardiaques qui battaient douloureusement contre ses tempes. Il repoussa les couvertures pour jeter les deux allumettes lui servant de jambes hors du canapé-lit. Parfois, il oubliait l’origine de ses courbatures. Il refusait de se souvenir pourquoi il peinait à trouver le sommeil. Leo est un loup-garou. Un cabot soumis à ses pulsions animales, à ses instincts primaires, privé de sa liberté, emprisonné dans un corps qui ne lui appartenait plus. Cette douleur, il la tenait des transformations. Il s’empêchait de laisser la bête gronder, il lui interdisait de manifester sa rage, et chaque nuit, elle le bouffait un peu plus. Il avait dix-neuf ans à l’époque. Il avait quitté Poudlard l’an passé, gorgé de bons souvenirs, prêt à poser les fondations d’une vie qu’il voulait riche et longue. Des souhaits naïfs et emplis d’espoir. Il était parti aux Etats-Unis pour étudier les créatures magiques et l’arithmancie, sans savoir s’il s’y installerait ou s’il retournerait à Londres, sans savoir si ce qu’il ferait lui plairait, sans savoir ce qu’il voulait vraiment devenir. Il était barman le soir, étudiant le jour, mettait quelques gallions de coté. Et puis il avait accepté cette virée à Los Angeles, en 2004. Devait-il blâmer sa nature de fêtard ? Il était tellement bourré que les souvenirs de cette nuit-là avaient été aspirés par un trou noir. Il avait gardé l’exemplaire de la Gazette qui titrait son agression, ou plutôt, les agressions. « Un loup-garou attaque neuf sorciers et trois moldus ». Scandale. Il était sorti de boîte, dégueulait tranquillement dans la rue, et ce truc avait bondi de nulle part. La créature avait déchiqueté un des amis qui l’avaient accompagné dehors avant de s’en prendre à lui, à ce tonneau alcoolisé trop faible pour se défendre. La bête l’avait sauvagement mordu à l’épaule, les griffes enfoncées dans son flanc, puis avait détalé en le laissant se vider de son sang sur l’asphalte. Les secours le sauvèrent in extremis, mais il était condamné à devenir un monstre. Sur les neuf sorciers attaqués, quatre ont survécu à leurs blessures. Quant aux trois moldus… les autorités magiques négocièrent un accident de voiture pour justifier l’état des corps, et l’affaire fut classée. Leo prépare lui-même sa potion Tue-Loup depuis et n’a jamais été tenté de « réellement » se transformer, en forêt par exemple. Il fait taire le monstre. Il le bâillonne avec l’énergie du désespoir. Il en a pourtant bavé après, pour trouver un travail, pour garder son logement, pour survivre. Et pour assumer le regard des autres, partagé entre la terreur et le dégoût.
pseudo irl: mathy/mushy âge: 17 pays: france années d'expérience rpg: cinq ans personnage préféré de la saga: vous savez, je ne crois pas qu'il existe de bons ou de mauvais personnages... /sbaff/ snape, sirius, les jumeaux, le trio, la base ! sort favori: waddiwasi, spero patronum, rictusempra... je veux ma baguette a connu fizwizbiz grâce à: si' (même si c'est vieux, je le ressors pour le plaisir : les bn vaincront **) fréquence de passage: quand je veux /évite la brique/ impression première: pétillant, agréable, frais, un bonbon virtuel ** commentaire personnel + mot magique: ça fait un mois que je surveille la construction du coin de l’œil, et j'ai enfin cliqué sur ce fucking enregistrer ! btw, OK par Ulysses !
Dernière édition par Leo Flanagan le Dim 6 Mai - 10:11, édité 2 fois
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Sujet: Re: leo — long hard road out of hell Jeu 3 Mai - 21:01
☞ once upon a time
« Vous vous voyez où, dans dix ans ? » Allongés sur l’herbe fraîche du parc, un groupe d’étudiants lézardaient paresseusement sous un agréable soleil, alors que le mois de mai touchait à sa fin. Les ASPICS approchaient, la fin de l’insouciance, le temps des au revoir. Sa cravate rouge zébrée d’or déliée, Leo Flanagan avait passé un bras sous sa nuque, songeur. « J’sais pas. Aux States. Ou en train de faire le tour du monde. Je me sens l’âme d’un philanthrope ! » Ses amis éclatèrent de rire. Un sourire rêveur apparut sur les lèvres du batteur de Gryffondor. Leo, si tu savais.
2009 – I GOT TO KILL THE KILLER THAT’S INSIDE Il avait dissimulé son corps frêle sous un sweatshirt noir et un blouson en cuir, mais le jean révélait ses fines guiboles. Avançant péniblement sous une pluie diluvienne, son visage tiré par la fatigue dissimulé sous une capuche, il longeait les murs de l’Allée des Embrumes sans prêter attention aux sorciers qui arpentaient ces ruelles étriquées. Trempé jusqu’aux os, Leo s’engouffra à l’intérieur d’un bar mal famé, bien loin de la chaleureuse atmosphère du Chaudron Baveur, où régnait un silence lugubre. Les conversations n’étaient que murmures, les faciès ne se dévoilaient pas, mais les coudes se levaient. Le jeune homme s’installa au comptoir, commanda un whiskey pur-feu et fouilla un instant dans ses poches pour en extraire son tabac à rouler. Puis il attendit. Il porta le cylindre grossièrement roulé à ses lèvres, but une gorgée immonde de cet alcool bon marché, et fixait le liquide ambré d’un œil vitreux. « Hey. » Le marmonnement voisin le tira de sa léthargie. Sans mot dire, il écrasa son mégot dans un cendrier et plongea sa main à l’intérieur de sa poche. Il en extirpa une petite fiole dorée qu’il glissa vers l’inconnu sans lui accorder le moindre regard. « Cinquante gallions, comme convenu. » Leo hocha doucement la tête, et l’autre disparut en abandonnant une bourse à coté d’une chope de biéraubeurre. Flanagan gagnait sa vie ainsi. Par le trafic de potions. Le commerce illégal d’ingrédients dangereux. Le soir, il était videur dans une boîte de nuit merdique, à quelques rues d’ici, parce que c’était le seul job où il n’avait pas été refoulé, où le patron se foutait qu’il s’absente deux ou trois soirs d’affilée par mois… Où personne ne prêtait attention à ce qu’il était ou à ce qu’il n’était pas.
De retour dans son studio, une garçonnière de mauvais goût empestant le renfermé, il jeta son blouson sur un fauteuil défoncé (et manqua la cible) avant de se diriger vers la salle d’eau. Devant le miroir accusateur, il ôta son t-shirt à l’effigie des Weird Sisters. Ce geste, il le répétait chaque jour. Chaque matin, chaque soir, chaque fois qu’il avait l’occasion de croiser ce pantin ridicule. Haine viscérale face à cet autre qui lui était étranger. Enfoncés dans leurs orbites, gonflés, rougis, ses yeux bleus méprisaient ce reflet hagard, fuyaient la faiblesse de ce corps décharné, lacéraient les côtes apparentes, et inévitablement, s’abaissaient sur ses mains agrippées aux rebords du lavabo, elles-mêmes zébrées de veines saillantes. Ce squelette ambulant le dégoûtait. Il lâcha brutalement le lavabo et se rua dans la cuisine, claquant rageusement les portes qui entravaient son passage, le cœur battant contre la peau trop fine de son torse. Bientôt, la minuscule table trônant près du réfrigérateur se retrouva recouverte de confiseries grasses, de pâtisseries caloriques, de chips, d’une pizza de la veille qu’il réchauffe rapidement avec sa baguette… Le festin du perdant. Et Leo le dévora. Il mélangeait les aliments, s’écœurait du trop plein de sucre, croyait pouvoir calmer ses maux d’estomac avec une bouteille de whiskey bon marché, engloutit une part de pizza juste avant de plonger une cuiller dans un pot de Nutella (à moins que ce ne soit de la marmelade, il regardait à peine). Il se sentait immonde. Dégueulasse. Plus pathétique encore. Comme si la rage qui lui brûlait le cœur dévorait maintenant son foie, son estomac, ses artères, ses intestins. Tremblant, tâtonnant les murs pour se guider, il revint à la salle de bain et se pencha au-dessus de la cuvette des WC, les yeux trempés de larmes impuissantes. Deux doigts mal assurés se glissèrent mécaniquement dans sa bouche, jusqu’à sa gorge asséchée. Et il vomit. Tout ce qu’il avait ingurgité. Avant de s’effondrer sur le carrelage immaculé, la tête entre les mains. Replié sur lui-même, le vieux gamin sanglotait sur ce corps qui lui échappait, sur cette tare qu’il portait depuis des années. Depuis combien de temps menait-il ce combat acharné contre lui-même ? Contre cet autre sanguinaire ? Contre la bête qui luttait pour faire entendre son cri déchirant ? Son père lui foutrait une mandale et lui ordonnerait de se relever, s’il était encore en vie. Comment lui répondre qu’il l’emmerdait ? Du fond du cœur ? Leo adorait, idolâtrait, son paternel. Il le considérait comme un héros, même s’il ne comprenait pas ses convictions républicaines. Il admirait sa façon de défendre ses idéaux et refusait d’admettre, à l’instar de son frère, de sa mère ou de sa sœur, qu’il les avait abandonnés au profit de l’IRA, de sa lutte personnelle pour la libération de son pays. Enfoiré. Nauséeux, Leo posa son front contre ses genoux.
2011 – DON’T SUPPOSE I’LL EVER KNOW WHAT IT MEANS TO BE A MAN « PUTAIN TU VAS M’ÉCOUTER CONNARD ? » Les conversations se stoppèrent, dans le couloir du Département de contrôle et de régulation des créatures magiques. Les employés du Ministère scrutaient cet hystérique négligé qui poursuivait un homme au pas de course, un rouleau de parchemin brandi au-dessus de sa tête. Leo ne partirait sans obtenir gain de cause. Indigné d’être apostrophé par ce petit con irrévérencieux, un quinquagénaire aux traits anguleux se retourna dans un bruissement de cape. « Mr. Flanagan, je croyais avoir été clair à ce sujet. » La mâchoire crispée, Leo enfonça violemment ses ongles dans la paume de sa main, qui commençait à furieusement le démanger. Il n’avait qu’à saisir sa baguette et… « Je suis un loup-garou, j’ai des droits et je me battrais jusqu’à ce que ce dossier soit étudié. » Un rictus narquois étira les lèvres d’Arthur Treadwell, l’imposteur se prétendant défenseur des créatures magiques. « Vous êtes classé dans la catégorie XXXXX du Ministère. Vous savez ce que ça signifie ? » Son sang ne fit qu’un tour. Leo lâcha le parchemin et plaqua l’autre contre un mur, sa main emprisonnant sa mandibule. Il ne dégaina même pas sa baguette. « T’as du mal à dissocier la bête et l’homme, apparemment. C’est à cause de cons comme toi que j’ai fait deux ans de chômage, que j’ai été marginalisé par une société bourrée de préjugés. Ose me regarder en face sans être effrayé, comme si j’étais un simple sorcier. Les lycanthropes ont besoin d’une association comme ça, pour se sentir acceptés quelque part. On en a marre de la discrimination à l’embauche, des salaires de misère, de la difficulté à obtenir du Tue-Loup. Tu trouves que c’est normal que des hommes, des femmes, des ados ou des gosses soient rejetés par les leurs pour quelque chose dont ils ne sont pas responsables ? C’est comme ça que les loups-garous continuent d’attaquer… Parce qu’on n’est pas encadrés ! Parce qu’on n’a pas de but, pas de soutien ! Alors réfléchis, Treadwell. Réfléchis. Un jour, ça pourrait t'arriver. » Des agents de sécurité avaient été dépêchés par quelques témoins de la scène et encerclaient maintenant un Leo aveugle à ce qui se passait autour de lui. Il gardait ses iris myosotis rivées sur le visage blême de l’autre, avant de le lâcher brutalement. Les gardiens le ceinturèrent et l’embarquèrent vers la sortie, tandis que Leo imitait le hurlement d’un loup sous les regards consternés de l’assistance. Les Cabots Anonymes était sa plus grande réussite, sa plus grande fierté. Depuis sa transformation, Leo avait essayé de ne pas se laisser bouffer par sa tare, pensant presque naïvement que les mœurs avaient évolué. Puis la réalité, riant de ses espoirs utopiques, se chargea de lui rappeler qu’une fois installée dans les esprits, la peur était indélébile. Sa famille éclatée et gangrenée par les conflits lui tourna le dos, les employeurs le recalaient et l’argent commençait à manquer. Il perdit son appart, direction la rue. Pendant un an, il occupa une petite chambre, au Chaudron Baveur, avant de se dégotter un studio pitoyable sur l’Allée des Embrumes. Puis j’ai déconné. Et c’est au fond du gouffre qu’il pensa à cette association, à tous ces anonymes qui erraient en réfrénant leur moi bestial, à sa lâcheté face à ce qu’il s’interdisait d’être. Sa lycanthropie lui pourrissait l’existence, et il n’y avait pas un jour sans qu’il espère ouvrir la Gazette pour découvrir le remède miracle, mais elle lui avait donné un but.
2012 – IT’S NOT THE DAY THAT FALLS, IT’S THE NIGHT THAT RISES « Leo, ouvre ! OUVRE ! » Quelqu’un tambourinait avec une rare violence contre la porte, arrachant un soupir agacé au proprio. Celui-ci enfila un sweatshirt solitaire, pendouillant à un porte-manteau de l’entrée. C’était Julian, un de ses meilleurs amis, le co-fondateur des Cabots Anonymes, qui braillait « t’as lu la Gazette, t’as lu la Gazette, putain dis-moi que t’as lu la Gazette ! » La tête dans la citrouille, Leo se frotta un œil souligné d’un épais cerne noir. « Nan, mais arrête de gueuler, et puis… Il le regarda s’engouffrer à l’intérieur du couloir, les sourcils froncés, la bouche encore ouverte. Ouais fais comme chez toi surtout… Qu’est-ce que tu veux ? Et où elle est, Sally ? » Généralement, Julian se déplaçait rarement sans sa copine, que Leo adorait depuis qu’ils supportaient la même équipe de Quidditch, mais l’intrus se contenta d’invoquer tous les mages, de Merlin à Dumbledore. « LIS ! » Lui cria-t-il, en lui fourrant entre les mains la Une froissée de la Gazette. En capitales noires, juste au-dessus d’une image de leur ministre fuyant une horde de journalistes déchainés, s’inscrivaient trois mots « L'Affaire Fizwizbiz ». Et en quelques lignes à peine, ses jambes se dérobèrent. Leo chancela, se rattrapa in extremis à l’appuie-bras de son canapé, sans lâcher du regard l’article qui augurait, selon lui, la fin de l’équilibre magique. « C’est la merde ! » Julian hocha vigoureusement la tête, vautré dans un fauteuil. « Au moins, ils ont accepté l’assoc’ avant ce bordel. Sinon, ils nous auraient viré à coups de pied au cul. » Tu m’étonnes. Leo se rongeait l’ongle du pouce, fébrile. C’était un appel à la tolérance qui sonnait pour lui. « Bon écoute, je pars à Poudlard en septembre. Il faut que tu fasses passer un message. Aucun nouveau sorcier ne doit être attaqué. On doit rester invisible. » Grâce à une rencontre fortuite avec Abraxas Longfellow, le jeune homme avait réussi à décrocher un poste – non sans mal – au sein du château. Heureusement que ce vieux Slughorn avait pris sa retraite. Enseigner lui donnerait la sensation d'être utile. Et il aurait libre accès à tous les ingrédients possibles pour préparer sa potion sans éveiller le moindre soupçon. Sa dernière chance pour redémarrer sa vie comme il l’entendait. Pour récupérer les morceaux éparpillés de sa fierté, réparer les erreurs du passé, reconstruire son avenir brisé. Finalement, il pourrait peut-être le faire, son tour du monde.
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Jeffree Darlington
chairman ϟ admin
Messages : 295 Date d'inscription : 23/01/2012 Célébrité : julian schratter Âge du personnage : 23 yo
Sujet: Re: leo — long hard road out of hell Jeu 3 Mai - 21:13
Leo Flanagan a écrit:
a connu fizwizbiz grâce à: si' (même si c'est vieux, je le ressors pour le plaisir : les bn vaincront **)
omg omg omg omg c'est la fête je suis genre trop TROOOOP contente là, ça illumine ma soirée de te voir ici hanlalalaaaaaaaaaaaaaaa va nous falloir un lien de la mort qui tue tout quoi
bref, bon courage pour ta fiche, si t'as la moindre question hésite pas à venir me demander par mp, le fo' ouvre officiellement samedi mais bon c'est la fiesta là quoi ! eh ouais BN !
edit ; en plus je viens de voir que t'as mis Passengers de AaRON là en musique, c'est bon tu m'as définitivement tuée
Jr. Ulysses Andrade
Messages : 414 Date d'inscription : 23/01/2012 Célébrité : Cesar Casier Origine : Cracmol, nouvellement sorcier
Sujet: Re: leo — long hard road out of hell Jeu 3 Mai - 22:18
Good lord, bienvenue ! Ici Sasha K. de Waddi, comment vas-tu ? La même que Jeff', hyper heureux de te voir sur Fizouille, en plus j'aime pas spécialement JL mais ton avatar est so smex, ça promet ! Et puis Aaron en soundtrack, j'aime ! Bon courage pour la fiche et c'est open bar si tu as besoin de quoi que ce soit !
Phoenix S. Hemingway
vice prime minister ϟ admin
Messages : 610 Date d'inscription : 25/01/2012 Célébrité : francisco lachowski Origine : Sang mêlé Âge du personnage : 16 ans
Sujet: Re: leo — long hard road out of hell Ven 4 Mai - 15:24
Bienvenuuuuuue Mais mais, t'es de Waddi ?! Ici Noushka/Sunny à l'appareil ! Bon courage pour ta fiche *o*
Gregory J. Malkin
assistant professeur SACM
Messages : 168 Date d'inscription : 09/02/2012 Célébrité : jude law Âge du personnage : vingt-cinq ans
Sujet: Re: leo — long hard road out of hell Ven 4 Mai - 16:33
Merde c'était qui mon perso sur Waddi déjà... Logan au rapport Cap'taine!
Enfin un autre adulte dans ce monde de mioches!
Invité
Invité
Sujet: Re: leo — long hard road out of hell Ven 4 Mai - 17:43
Maaaaais c'est une réunion d'anciens, j'aimee ! Ça me fait trop plaisir de tous vous revoir ! (je vais foutre des smileys dans tous mes messages maintenant ) Bonnie/Alice/etlerestequejemesouviensplus/ au rapport ** Han, je suis toute émue.. et pourtant, même j'ai la mémoire qui flanche plus qu'un poisson rouge atteint d’alzheimer, je me souviens de toutes les têtes (et de certaines présas, et de certains liens, *petite larmichette*) ; câââlinnnn
Mais ce lien, c'est un peu ma condition pour rester ici quand même ! Jamie en biblio quoi (Leo c'est le pendant masculin taré de Bonnie, on trouvera obligatoirement quelque chose mwahaha) ! et même, il nous faut un rp et tout, j'ai une liste d'exigences là
HAAAN CESAR ! -longue trainée de bave- open-bar ? aaaah là je dis oui, APÉRO ! Sinon ça va super bien, j'ai hâte de m'installer ici pour un p'tit moment /ah non c'est vrai, je l'ai déjà fait/ Vous avez vraiment fait du bon boulot, le fo' est sublime ** J'ai un gros smile rien qu'en regardant l'entête pour tout dire <3
Vous voulez vraiment me rendre folle avec les ava et les pseudos là. maaaais maiss... Phoenix... LANAAAAAAAA ! J'aime Lana.
Han ouais, les adultes les domineront tous ! On va asservir ces petites teignes Ça faisait pas mal de temps que j'avais pas croisé Jude sur un fo', sa tête me manquait -> D'ailleurs, il se pourrait très fortement que Leo ait besoin d'aide pour ses potions, tard le soir... dans les cachots... J'dis ça j'dis rien
Gregory J. Malkin
assistant professeur SACM
Messages : 168 Date d'inscription : 09/02/2012 Célébrité : jude law Âge du personnage : vingt-cinq ans
Sujet: Re: leo — long hard road out of hell Sam 5 Mai - 8:36
Je sais, il a quasi-disparu :( Sa tête me manquait trop donc je me suis dit: ne nous privons pas des bonnes choses de la vie. JL en blond (hoho, on a les mêmes initiales, c'est un signe!) sur ton gif on dirait Draco Malfoy post-Poudlard - et de la meilleure façon possible
Quoi? Mais pourquoi le snobissime professeur de Potions voudrait-il voir le pauvre ancien moldu dans son bureau... le soir... tout seul.... ah. aaaaaaaaaaaah. je vois, je vois.
Noreen S. Breckenridge
gryffondor
Messages : 210 Date d'inscription : 03/05/2012 Célébrité : Leighton Meester Origine : Sang moldu, sorcier de naissance Âge du personnage : dix-sept ans
Sujet: Re: leo — long hard road out of hell Sam 5 Mai - 9:20
Bienvenue
Invité
Invité
Sujet: Re: leo — long hard road out of hell Sam 5 Mai - 11:12
Bienvenue
Personnage intéressant ( et beau ) , je vais vouloir un lien .
Invité
Invité
Sujet: Re: leo — long hard road out of hell Dim 6 Mai - 10:29
Haan, j'suis pas snob, j'suis gentil tout plein ! Un vrai bisounours :D Et omg, j'avais pas réalisé mais c'est vrai qu'il a un air avec Malfoy
Merci ! :3 Le lien sera avec plaisir (: Et KStew est trop jolie sur l'ava'
Fiche terminée ! La fin est pourrie
Robin McLane
capitaine ϟ modérateur
Messages : 345 Date d'inscription : 04/05/2012 Célébrité : James McAvoy Origine : Sang moldu, sorcier de naissance Âge du personnage : 17 ans
Sujet: Re: leo — long hard road out of hell Dim 6 Mai - 10:38
Bon, je trouvais ça bizarre de te souhaiter la bienvenue alors que t'étais inscrit avant moi.... Mais je peux pas ne pas commenter ! Déjà, Jared, excellent choix d'avatar, puis un irlandais... Et l'histoire est juste trop énorme, il nous faudra absolument un lien quand tu seras validé !
Bienvenue donc !
Jeffree Darlington
chairman ϟ admin
Messages : 295 Date d'inscription : 23/01/2012 Célébrité : julian schratter Âge du personnage : 23 yo
Sujet: Re: leo — long hard road out of hell Dim 6 Mai - 10:48
Mon Leo ! Ca déchire ça déchire je suis trop fan et en plus du coup j'ai eu deux trois petites idées pour notre lien uhu ! Bref, validé sans problème évidemment ! Bienvenue Mr le prof, Hogwarts va dégommer avec des adultes aussi stylés Ah oui, seul point, il me semble qu'on avait décidé de dire que temporellement on commence le deuxième semestre de l'année là, (Ulysses si tu passes par là dis-moi si je me trompe ?) du coup Leo aurait commencé comme prof soit avant l'affaire Fiz', en septembre 2011 donc, soit là à la reprise de Janvier 2012 ! Mais je te confirme ça
validé !
Message de Rita Skeeter :
« Vous voilà enfin validé, *Flash photo aveuglant* Souriez, c'est pour la Gazette ! »
Avant de vaquer à vos activités magiques, il est de bon ton d'ouvrir un carnet de relations, et de consulter les bottins -au cas où l'un d'entre eux vous concernerait. Si vous perdez le nord, la carte du maraudeur reste à votre disposition; elle fourmille de lieux à découvrir. N'oubliez pas vous pouvez rejoindre un club, et faire gagner des points à votre maison... Et que le plus important reste encore de rp ! Enfin, vous pouvez envoyer à tout moment un hiboux aux ministres de Fizwizbiz ! Ils aiment bien, ça leur passe le temps...
Jr. Ulysses Andrade
Messages : 414 Date d'inscription : 23/01/2012 Célébrité : Cesar Casier Origine : Cracmol, nouvellement sorcier
Sujet: Re: leo — long hard road out of hell Dim 6 Mai - 11:01
Bravissimo Leo ! J'suis trop fier de toi quoi, ton perso poutre. Et oui nous sommes au deuxième semestre déjà. :D
Gregory J. Malkin
assistant professeur SACM
Messages : 168 Date d'inscription : 09/02/2012 Célébrité : jude law Âge du personnage : vingt-cinq ans
Sujet: Re: leo — long hard road out of hell Dim 6 Mai - 12:52
Oh mon Dieu ta fiche. Je veux encore plus un lien qu'avant (et c'était déjà dur)!
Invité
Invité
Sujet: Re: leo — long hard road out of hell Dim 6 Mai - 14:09
Mercii ! Je rectifie le tir : il est prof depuis septembre et il passait noël chez son pote quand il a appris l'affaire fiz' =) Je crois que le réflexe de septembre a été automatique... 'fin bref !
Raaaaw Robin, j'adooore James ** Je l'ai joué il y a quelques temps en plus, c'est trop bon de le revoir :D Et sans problème pour le lien /file vers le carnet d'adresses/