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Pandora C. Oaken
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MessageSujet: « Now, you must wear the cone of shame. » - « I do not like the cone of shame.. »   « Now, you must wear the cone of shame. » - « I do not like the cone of shame.. » Icon_minitimeMar 15 Mai - 15:40


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« Now, you must wear the cone of shame . » - Rafael & Pandora

La nuit était déjà bien engagée. Le sommeil, en sale traître qu'il était, ne semblait pas vouloir la rejoindre. Où êtes-vous, bras de Morphée ? Que je m'y blottisse ! pensait la jaune allongée dans son lit. Ses camarades de chambrée étaient endormies depuis bien longtemps alors que l'excitation de l'entraînement auquel elle avait participé quelques heures plus tôt avaient eu raison de sa propre fatigue. Cela faisait déjà plus d'une heure qu'elle était couchée, sans grand succès. Elle soupira longuement et décida qu'il valait mieux qu'elle se lève. Peut-être que si elle lisait un peu ou allait faire une petite marche nocturne, cela finirait par la fatiguer. Pandora se leva, mit ses bottines, enfila un gilet en laine et se saisit de sa baguette avant de rejoindre sa salle commune. Elle se jeta littéralement sur un des canapés et réfléchit à ce qu'elle allait faire. Elle hésita longuement entre une marche dans le parc et un petit repas discretos dans les cuisines et son choix finit par se faire quand elle entendit son ventre gargouiller. Etant une fille très discrète, bien entendu, elle commença sa mission jusqu'aux cuisines comme un ninja moldu. Par Merlin, cela paraît juste incroyable que personne ne l'ai entendu marcher et siffloter sur le chemin comme si c'était normal et autorisé de se promener dans les couloirs du château à une heure du matin. Alors qu'elle pénétrait les grilles du Paradis, la belle fit son choix entre les mets qui restaient dans les frigos magiques. Hop, quelques fraises, du chocolat et de magnifiques petites cerises. Oh, des glaces. Pandy la gourmande, les bras chargés d'un délicieux goûter, quitta la salle, s'étant mis en tête de rejoindre la tour d'astronomie pour admirer un peu les étoiles. Cela n'était pas le genre de soirées auxquelles elle était habituée, en temps normal, à cette heure-ci, elle devrait être bourrée quelque part dans une salle du château, à danser le mambo avec le reste des débauchés. Mais ce soir-là elle n'avait pas très envie de faire la fête. La jaune avait préféré une soirée tranquille dans sa salle commune à une grosse soirée. Ça n'était pas habituel et expliquait peut-être pourquoi elle n'arrivait pas à se coucher tôt.
Pandora, en plein repas - oui, elle était sensée garder son petit trésor pour son arrivée dans la tour d'astronomie. - montait lentement les marches. Elle finit par se dire qu'elle devrait peut-être faire attention car si un préfet ou le concierge passait dans le coin, elle aurait certainement de gros ennuis. Encore. Elle décida donc de longer les murs et de tendre l'oreille plutôt que de sautiller au milieu des couloirs en sifflotant. Oui, c'est sûr, Pandy, tu auras moins de chance de te faire cramer. Et puis, elle n'avait pas très envie d'être surprise dans cette tenue, en pyjama : un short et un débardeur vert poireau, son gilet en laine et ses bottines noires - enfin une dégaine un peu misérable. Habillée de la sorte, la jaune n'avait pas très envie de croiser un beau préfet ou une petite pimbêche. Elle ne comprenait pas les préfets, comment est-ce que l'on pouvait avoir envie de devenir la fouine du proviseur ? C'était illogique et ennuyeux. Enlever des points aux autres élèves c'était le meilleur moyen d'être détesté. Elle n'avait pas envie d'être détestée. Elle l'était bien assez. Bah ouais, voir l'avenir ça n'avait pas que des avantages. - Alors que la jaune était perdue dans ses pensées tout en finissant la dernière fraise qu'elle tenait à la main, vestige de son pré-petit-déjeuner, elle entendit des bruits de pas arrivant devant elle. Là, Pandora se transforma vraiment en superwoman, se plaquant contre le mur et glissant délicatement derrière la statue de la sorcière borgne qui se tenait à quelques mètres devant elle. Elle vit alors passer un élève et, à la lumière de la lune, qui était pleine ce soir là, elle le reconnut directement. Rafael. Rien que d'y penser, elle avait envie de baver. Même son prénom, murmuré, devenait sensuel. Rafael. Mais c'était surtout lui qui l'était. Il était beau, il était absolument parfait physiquement mais, avant tout, semblait être doux et étranger au comportement normal d'un élève de serpentard. Elle se souvenait parfaitement, malheureusement, de ce fameux jour où elle s'était lamentablement ramassée devant lui, trop occupée à le dévisager. Ses amis avaient ri, elle avait ri, le groupe du garçon avait ri mais pas lui. Il l'avait fixée gentiment alors qu'un fin sourire amusé illuminait son visage. Après cela, elle s'était jurée qu'elle ferait tout pour racheter son honneur et utilisa son don pour l'aider dans sa lourde tâche. Il fallait bien en profiter parfois ! Mais malgré tous ses efforts pour attirer son attention et faire qu'il oublie sa maladresse, il ne semblait pas vouloir la regarder.
Le bel Apollon passa devant elle et elle laissa sortir sa tête hors de sa cachette pour le regarder de dos. Il marchait doucement et elle lorgna son postérieur quelques secondes avec un petit soupire. Je le veux. Tout se passa ensuite très vite. Un spasme qu'elle connaissait bien la força à fermer les yeux et elle vit la préfète des serdaigles arriver dans le couloir et l'attraper. Même tenue, près de la sorcière borgne. Aucun doute ça n'allait pas tarder à se passer. Une vision, assez net. Ça a parfois du bon d'être une voyante. Elle faillit s'enfoncer derrière la statue et pensa soudainement à Rafael. Elle ne pouvait pas le laisser se faire prendre, il aurait certainement des ennuis. Pandora se jeta dans le couloir, courut jusqu'au vert et lui attrapa la main, le forçant à venir avec elle. Le pauvre ne devait pas comprendre ce qui se passait mais la belle s'en fichait pas mal, il lui ferait peut-être un bisou pour la remercier de lui avoir sauvé la mise. Ou même deux ? Elle déposa son doigt sur les lèvres du garçon, lui intimant de ne pas parler. La préfète passa près d'eux sans rien remarquer. Pandora : Wonderwoman. Une véritable super-héroïne moldue qui change l'avenir au gré de ses envies. Quand le danger fut passé, un grand sourire étira ses lèvres. « Un préfet est passé. » Son sourire s'élargit, dévoilant une rangée parfaite de dents plus blanches les unes que les autres. Oui, c'était le sourire colgate qu'elle utilisait quand elle voulait draguer quelqu'un mais tout ça ne marchait pas avec lui. Malheureusement ... « Je t'ai sauvé la mise ! » Il toussota et ses yeux descendirent vers son uniforme. D'ailleurs pourquoi était-il encore en uniforme ? Ah, et c'est quoi cet insigne sur son torse musclé ? hm. « Je suis un préfet. » Comment avait-elle pu oublier ce détail ? Une voyante sans mémoire, c'est quand-même le summum de la stupidité ! Pandora soupira et laissa retomber sa tête qui se posa sur le torse du garçon. « Achève-moi ... Ou mieux .. » continua-t-elle sans relever la tête. « Pars et laisse-moi mourir de honte. » Elle finit alors par relever ses yeux et les planta dans ceux du garçon. « A moins que tu ne veuilles me mettre une retenue .. » De toute manière, quoiqu'il fasse, elle ne serait plus là demain. Elle avait pris une décision : La jaune avait décidé de prendre ses affaires et de vivre en sauvage dans la forêt interdite. Peut-être que dans quelques mois ils auraient tous oublié ce malheureux évènement. Lui et puis tous ceux à qui il allait se faire une joie de le répéter. Ca n'arrivait évidemment qu'à elle et toujours avec lui. Avec le premier des ploucs du château les choses se passaient à la perfection mais dès qu'il était dans les parages il fallait qu'elle fasse une bourde. Et là, c'était vraiment une grosse bourde. Tout espoir était perdu.
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Rafael J. Andrade
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MessageSujet: Re: « Now, you must wear the cone of shame. » - « I do not like the cone of shame.. »   « Now, you must wear the cone of shame. » - « I do not like the cone of shame.. » Icon_minitimeSam 26 Mai - 14:36

Pandora Ҩ Rafael
« i don't know how but i suddenly lose control. there's a fire within my soul, just one look and i can hear a bell ring. one more look and i forget everything, w-o-o-o-oh »


La frustration de devoir se coltiner des rondes alors que tout Poudlard danse.
Rafael gambadait dans les couloirs sombres ruminant intérieurement contre cet imbécile de préfet de préfet de Gryffondor qui était tombé malade, lui reléguant le boulot alors que sa soirée était déjà toute tracée. Il était simplement crevé. Ezra, son aîné, l’avait traîné tout l’après-midi dans un entraînement de quidditch à la dure, « entre frères », qui lui avait valu moultes face à face avec des cognards hargneux. Son corps complètement endolori lui criait de retourner s’effondrer sur son lit, et Merlin seul sait à quel point il aurait aimé. Mais enfin, quand on porte une insigne sur le torse et qu’on s’appelle Andrade on garde la tête haute et on prend ses responsabilités sans broncher. S’il finissait par contre par apprendre que le Rouge & Or s’était retrouvé dans une soirée clandestine à se noyer le foie de pur feu, la situation risquerait de mal tourner. Blasé à l’idée de devoir tenir une conversation de formalité avec la seconde préfète, il s’était enfui en solitaire dans les couloirs. Il y avait un côté néanmoins plutôt apaisant à arpenter le château la nuit tombée. Le corps enfoui dans des vêtements chauds il filait tel un serpent de son espèce de démarche dansante. Depuis quelques heures il avait une chanson moldue qui lui trottait dans la tête. C’était Phoenix qui le lui avait fait connaître : Mamma Mia, de ABBA. Sans blague, si quelqu’un la faisait retentir dans les couloirs du château on pourrait être sûr que Rafa se mettrait à danser. C’était le rythme dansant et ensoleillé du Brésil qui lui manquait terriblement. La chaleur, le soleil, les vagues, la fête, danser, se lâcher, s’amuser. Comme si l’hiver gallois mettait en suspend toutes ses capacités de desinhibition, l’enfermant dans un rythme d’hibernation profond. Oui, c’était donc ça : Andrade aurait aimé pouvoir hiberner jusqu’au retour du soleil.

Le garçon avait perdu la notion du temps. A vrai dire il ne regardait même plus vraiment où il était et se laissait guider aléatoirement, selon la volonté des escaliers. Un vent frais balaya le couloir et donna la chair de poule au brésilien qui enfonça ses mains dans ses poches, le corps et les muscles complètement tendus. Mamma mia, here i go again… Un léger sifflement sortait du coin de ses lèvres pincées. Pour une fois il n’avait rencontré aucun déserteur. Tout le monde devait être enfermé dans la salle sur demande, à s’enfiler pinte après pinte. Le garçon tourna au coin d’un couloir et passa devant la sorcière borne tout en continuant à siffloter son air de musique. Il eut tout juste le temps de sentir des pas se rapprocher qu’une main l’attrapa par derrière et le tira sans qu’il ne puisse opposer résistance. En moins de deux secondes il se retrouva caché derrière la statue avec devant lui Pandora Oaken. Le garçon fronça des sourcils, interrogeant la Poufsouffle du regard. Elle ne dit rien, le convainquant simplement de ne pas parler. Les pas continuaient à s’approcher, s’amplifiant progressivement jusqu’au moment où la personne longea le couloir où ils se trouvaient, passant silencieusement devant la statue de la sorcière. C’était la préfète des Serdaigles avec qui il aurait du faire sa ronde. Relâchant un peu la pression, Rafael posa à nouveau son regard sur Pandora qui arborait maintenant un énorme sourire. « Un préfet est passé ! Je t’ai sauvé la mise ! » Face à son regard insistant Rafael comprit peu à peu les raisons qui l’avaient poussé à entreprendre une telle action salvatrice. Un sourire se dessina sur ses lèvres et alors qu’il désignait d’un vague mouvement l’insigne sur son buste il ne put s’empêcher de penser qu’elle était sacrément irrésistible. Pandora laissa tomber sa tête sur son torse et un rire s’échappa de ses lèvres. « Achève-moi, ou mieux… Pars et laisse-moi mourir de honte. » Il l’aimait bien, Pandora. Depuis leur première rencontre elle l’avait interloqué. Bizarre, son cœur était en train de battre un peu plus fort que d’habitude.
Elle était ensuite venue plusieurs fois lui faire des prédictions, qui finirent toujours par se réaliser, et il avait fini par faire le lien avec son nom de famille. Oaken. Le troisième œil des Oaken. Ca avait un côté terriblement fascinant. « A moins que tu ne veuilles me mettre en retenue… » Rafael secoua la tête, comme pour se sortir de ses pensées avant de poser maladroitement sa main sur le visage de Pandora, la forçant à le relever. Son sourire s’élargit en saisissant le regard dépité de la Poufsouffle et il se mordilla la lèvre avant de rajouter « Allez… tu t’es pas franchement trompée. J’avais vraiment pas envie de la croiser l’autre préfète, donc tu m’as quand même sauvé d’une certaine manière ! » Son regard était planté dans celui de la Poufsouffle dont il sentait le souffle non loin de son visage. Son cœur s’emballa encore plus vite en réalisant cette proximité. « Ta punition… » Il arqua un sourcil, et alors que sa main était toujours en contact avec la peau de Pandora son esprit fut rattrapé par la pulsion et il rapprocha son visage de celui de la jeune femme, déposant un rapide baiser sur ses lèvres aguicheuses. En un rien de temps il s’éloigna et détourna légèrement la tête. « Tu vas devoir m’accompagner pendant la suite de ma ronde. » Ne sachant pas trop comment se comporter il s’éloigna et sortit de leur cachette. Il regretta aussitôt, réalisant à quel point il était stupide et aurait aimé prolonger le contact. Merlin, il n’avait aucune idée de ce que ce geste signifiait. Il recommença alors à siffloter en attendant que Pandora le rejoigne.

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MessageSujet: Re: « Now, you must wear the cone of shame. » - « I do not like the cone of shame.. »   « Now, you must wear the cone of shame. » - « I do not like the cone of shame.. » Icon_minitimeSam 26 Mai - 16:08




Elle se voyait déjà en pagne au milieu de la forêt interdite, à chasser des lapins ou bien à être chassée. Enfin, devenir un loup-garou serait la meilleure chose qui puisse lui arriver après cet événement pour le moins désolant : Elle était irrécupérable. La sorcière aurait mieux fait de rester dans son lit ou bien, au lieu de mater les fesses bombées du beau brésilien, de de rester cacher derrière sa maudite statue. Elle garda sa tête baissée posée sur le torse du garçon, et son odeur la marqua profondément. Une odeur sucrée, suave. Tellement agréable qu'elle aurait voulu rester ainsi des heures durant. Mais il ne serait certainement pas du même avis, d'ailleurs, elle sentit le bel Apollon emmener sa main jusqu'à son visage pour le lui relever. Au contact de sa peau et alors qu'elle plongeait son regard émeraude dans celui de Rafael, elle comprit que ses joues prenaient une petite teinte rosée, signe de sa gêne. Non pas qu'elle ne se sentait pas bien ou que cela lui déplaisait, bien au contraire. « Allez… tu t’es pas franchement trompée. J’avais vraiment pas envie de la croiser l’autre préfète, donc tu m’as quand même sauvé d’une certaine manière ! » Il était gentil. C'était étrange, cela lui donnait un côté .. Parfait. La jaune l'avait toujours trouvé réservé, elle voyait ça comme du dédain au départ et finit par comprendre que ça n'avait rien à voir. Il était beaucoup plus tendre qu'il n'y paressait. « Ta punition… » Le sorcier se rapprocha d'elle, lorgna ses lèvres quelques secondes et alors qu'elle faisait de même, y déposa un baiser furtif. Pandora perdit conscience du monde qui l'entourait. C'était comme être en plein match de Quidditch, la tension et l'excitation mêlées mais le phénomène était multiplié par mille. Par Merlin, elle ne comprit rien de ce qui lui arrivait.

Grâce à la pénombre il ne remarqua certainement pas ses joues écarlates, et c'était tant mieux. Elle aurait voulu reprendre possession de ses lèvres à la seconde où il s'était éloigné d'elle mais la belle ne réussit pas à réagir. « Tu vas devoir m’accompagner pendant la suite de ma ronde. » Ça, une punition ? La jaune regarda le préfet s'éloigné et sortir de derrière la statue. Elle s'appuya quelques secondes contre le mur, essayant de reprendre rapidement ses esprits mais sont coeur battait à tout rompre. Elle finit par le rejoindre et sortit à son tour, consciente qu'elle était habillée comme un manche à ballet. En fait, elle était en pyjama. Sympa, non ? La belle tira son pyjama dans tous les sens, essayant de s'arranger au possible et finit par ouvrir la bouche, l'air perplexe. « Pourquoi tu fais ça ? » Elle avança et finit par se planter devant lui. « Pourquoi tu te montres si gentil ? » Elle commença à jouer avec sa manche. « Je n'aurais certainement pas fait ça si j'avais été à ta place .. » Elle eut une moue pensive « Enfin en face de moi, pas que les rôles soient échangés. » Elle accompagnait ses paroles sans queue-ni-têtes de grands gestes qui étaient sensés aider à la compréhension. Encore un bel échec. « Enfin ne plus être moi mais être toi. » Elle essayait de lui dire que si elle avait été lui, elle se serait certainement un peu moqué de la situation. Vis à vis d'elle et non pas si les rôles avaient été échangés. « Enfin, hm .. » La jaune était consciente de s'enfoncer à chaque seconde qui passait. C'est la raison pour laquelle elle arrêta le massacre. Elle réagit vite : il fallait qu'elle change de sujet. « Tu parles d'une punition ! » Elle fit un pas vers lui, un sourire aguicheur étirant ses douces lèvres. « Par Merlin, j'suis bien embêtée ! » Ironisa-t-elle en posant ses mains sur ses hanches. Elle finit par faire un dernier pas vers lui, réduisant considérablement l'espace qui les séparait. Elle prit le temps de le scruter, lui et ses trais absolument parfaits. Son sourire s'élargit un peu plus. « Tu vois ça comme une punition, toi ? » Lui murmura-t-elle de manière un tantinet séductrice. La soirée prenait une drôle de tournure. Drôle et agréable tournure. Elle regrettait de moins en moins la bourde qu'elle avait faite, s'imaginant que, finalement, cela l’amènerait peut-être à passer un excellent moment en compagnie du beau serpentard.

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MessageSujet: Re: « Now, you must wear the cone of shame. » - « I do not like the cone of shame.. »   « Now, you must wear the cone of shame. » - « I do not like the cone of shame.. » Icon_minitimeLun 28 Mai - 10:11

Pandora Ҩ Rafael
« Olha que coisa mais linda, mais cheia de graça, é ela menina que vem e que passa, no doce balanço, a caminho do mar »


Son cœur continuait de battre à mille à l’heure alors que dans son esprit une multitude d’émotions plus incohérentes les unes que les autres s’entremêlaient. Pandora avait toujours eu la capacité d’attiser sa curiosité, son intérêt. Il n’était pourtant pas le genre de personne à se lancer dans la gueule du loup et préférait darder de loin plutôt que d’affronter la situation. Aussi, cette pulsion qui l’avait aveuglé quelques secondes plus tôt éveillait en lui de nombreuses questions auxquelles il n’avait pas de réponse. D’abord, pourquoi ? Pourquoi s’être lancé aussi spontanément ? C’était peut-être ce sourire qui l’avait rendue irrésistible. Ou son regard taquin. Ou les deux. Oui, sûrement les deux. Merlin, il ne comprenait plus rien. Mais qu’il aurait aimé profiter des lèvres de la Poufsouffle plus longtemps. Lorsqu’il sentit enfin sa présence près de lui, à la lumière du jour du couloir le préfet se retourna. Un sourire amusé s’empara de ses lèvres alors que Pandora réajustait un peu gênée ce qui semblait être un pyjama. Comment faisait-elle pour ne pas mourir de froid ? Une pensée saugrenue lui traversa l’esprit et il se dit qu’au pire, il pourrait toujours la réchauffer. Se rendant compte qu’il sifflotait toujours sa chanson ridicule le préfet s’arrêta net et se mordilla la lèvre tandis que la jeune femme se rapprochait de lui. « Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi tu te montres si gentil ? » Etonné il ne répondit pas. C’était bien l’une des premières fois qu’on lui disait aussi spontanément qu’il était ‘gentil’.

Il était lui-même un peu perdu face à sa propre réaction. Rares étaient les fois où son instinct prenait le dessus sur sa conscience. Rafael était même plutôt le genre de personne à analyser tout, réfléchir au pour, au contre, et calculer par quel moyen il aboutirait le mieux au résultat attendu, avant d’agir. Etait-ce un signe ? Face à lui Pandora s’agitait en de grands gestes qui accompagnaient des paroles confuses. « Je sais pas. Faut croire que je t’aime bien. » finit-il par lancer innocemment en un hochement de tête. Au fur et à mesure que la belle s’approchait de lui, l’esprit taquin du garçon s’éveillait. « Par Merlin, j’suis bien embêtée ! Tu vois ça comme une punition, toi ? » siffla-t-elle de manière incroyablement sexy. Le préfet approcha à nouveau lentement son visage de celui de la jeune femme jusqu’à n’être plus qu’à quelques insignifiants centimètres de ses lèvres. Leurs souffles s’emmêlaient déjà tandis que le parfum de Pandora vint étourdir ses esprits. Merlin comme ses lèvres rosées l’attiraient. Alors que leurs peaux s’effleuraient presque le brésilien murmura de sa voix suave « A prendre... » Il avait parlé lentement, faisant durer les secondes tentatrices, avant de finalement détourner le visage et de se redresser « Ou à laisser. » Meu Deus, pensa-t-il, ça faisait bien longtemps qu’il n’avait pas flirté aussi ouvertement. Comme pour venir accompagner ses pensées une chanson brésilienne résonna au fin fond de son esprit et il du lutter pour ne pas se mettre à chantonner. Il avait enfoncé ses mains dans ses poches et ses lèvres s’étiraient en un mince sourire. Ce petit jeu était décidément bien agréable et il en vint presque à remercier le préfet des Rouge d’être tombé malade. Néanmoins il se mit étrangement à se demander s’il avait uniquement envie de flirter avec Pandora. Pour se soustraire à une vague de nouvelles interrogations le brésilien commença à avancer dans le couloir. Sentant la démarche de la Poufsouffle s’accélérer derrière lui il tourna la tête vers elle « Alors, qu’est-ce que tu faisais à cette heure-ci ? Seule ? » En pyjama, s’empêcha-t-il d’ajouter. Se stoppant un instant, une lueur taquine dans le regard il planta ses yeux dans ceux de la Poufsouffle « Tu cherchais à te faire attraper » Enfin, en oubliant évidemment le détail selon lequel leur rencontre résultait d'une Pandora chasseuse et d'un Rafael chassé.

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MessageSujet: Re: « Now, you must wear the cone of shame. » - « I do not like the cone of shame.. »   « Now, you must wear the cone of shame. » - « I do not like the cone of shame.. » Icon_minitimeLun 28 Mai - 15:21




Cela Cela faisait bien longtemps que Pandora n'avait pas été dans ce genre de situations. En général, quand elle se faisait draguer ou qu'elle voyait une pointe d'envie dans les yeux d'un garçon, elle s'en amusait. Ça flattait son ego, bien évidemment, mais rien de plus. Cela faisait maintenant quelques mois qu'elle n'avait plus eu de relation sérieuse, pas envie rétorquait-elle à quiconque lui soumettait un prétendant. La véritable raison était toute autre. La belle voulait quelqu'un qui lui échappait, quelqu'un difficile à atteindre et non pas un mort de faim qu'elle mettrait dans sa poche en trois sourires et deux regards aguicheurs. Rafael, il n'était pas de ceux-là. Cela faisait des années qu'elle l'avait remarqué et qu'elle essayait d'attirer son attention : en vain. Enfin, c'était ce qu'elle pensait jusqu'à il y a cinq minutes,quand il avait déposé un baiser sur ses lèvres. Furtif, certes, mais c'était un baiser quand-même. Alors peut-être que tous les efforts qu'elle avait fait pour qu'il la remarque avaient finis par payer ? Ou bien, il s'amusait de la situation et, dans ce cas là, elle finirait par lui faire payer. Le vert était très beau, mais il avait surtout ce petit quelque chose qui ne la laissait pas indifférente. Quand il lui souriait, quand il la regardait droit dans les yeux, la belle se sentait alors à sa merci. Un peu comme si elle était nue ou qu'elle avait un énorme bouton près à exploser sur la face. C'est ce qu'elle recherchait : quelque chose qui la prenne aux tripes, quelque chose de différent, de mieux.

Evidemment elle était consciente des années lumières qui les séparaient. Pourtant, elle ne semblait pas prête à perdre espoir. Rafael, c'est l'mec de Witch Weekly, celui qu'on regarde et dont on se dit Rah, c'est quelqu'un comme ça qu'il me faut ! et étant donné que la situation lui permettait de passer du temps avec lui et d'essayer de tâter le terrain, elle n'allait évidemment pas cracher sur une occasion pareille. Par Merlin, elle n'allait pas le laisser filer si facilement ! Pandora lui demanda pourquoi est-ce qu'il se montrait si gentil avec elle, c'est vrai que cela paraissait étrange, il n'était pas ce genre de personnes avec le coeur sur la main qui ne rataient jamais une occasion de montrer à quel point ils étaient purs et vertueux. « Je sais pas. Faut croire que je t’aime bien. » Son coeur fit un bon dans sa poitrine et un fin sourire étira ses lèvres. « C'est bon à savoir. » Lança-t-elle, avec humour ne sachant pas réellement quoi répondre. Ce n'était pas ironique, juste une remarque légère qui détendrait un peu l'atmosphère. Le bel Apollon lui proposa ensuite, en guise de punition, qu'elle l'accompagne tout au long de la soirée pour sa ronde, ce à quoi elle répondit favorablement, bien sûr. Elle lui demanda, avec ironie, si c'était une corvée pour lui de l'avoir à ses côtés. Pour toute réponse il s'approcha d'elle, très près d'elle. « A prendre... » Leurs souffles se mêlèrent et leurs lèvres se frôlèrent de nouveau, ce qui lui donna l'envie furieuse de s'emparer de sa bouche. Une tentation à laquelle elle eut du mal à résister. « Ou à laisser. »

Rafael finit par s'éloigner d'elle, pour son plus grand mécontentement, ce qui lui arracha une moue déçue. Elle ne sut pas si il l'avait vu ou non. « Alors, qu’est-ce que tu faisais à cette heure-ci ? Seule » Le sourire de la belle s'élargit alors qu'elle montrait son pyjama. « Ça ne se voit donc pas ? » N'ayant pas de réponse, elle mima une grande déception et soupira. « J'essaye de trouver des clients. Dur, en ces temps de crise. » Elle était marrante la petite Pandy, du moins elle se faisait souvent rire toute seule. C'est là qu'on sait qu'on touche le fond, quand on rigole à ses propres blagues et remarques. « Tu cherchais à te faire attraper » Le sourire qui illuminait son visage devint à la fois moqueur et provocateur tandis qu'elle s'arrêtait à son tour et croisait les bras. « Dois-je te rappeler que c'est moi qui t'ai trouvé ? » Elle recommença à marcher, passant devant lui, le regard tout autant provocateur. Elle se tourna vers lui, tout en continuant son chemin et haussa les épaules. « Je ne sais pas pourquoi, mais j'savais que quelqu'un allait passer dans le couloir. » En général elle n'appréciait pas parler ou que l'on parle de son don, mais là c'était plus fort qu'elle : tous les moyens étaient bons pour se faire remarquer et se différencier des autres aux yeux du beau serpentard. La belle se stoppa alors et se retourna vers Rafael. « Et toi, dis moi, c'est pas frustrant de tourner en rond dans les couloirs plutôt que de passer une bonne soirée avec tes amis ? » Elle voulait le titiller, c'était amusant. D'ailleurs son sourire s'élargit encore plus, dévoilant sa dentition. Elle ne voulait qu'une chose, qu'il revienne vers elle, ou bien elle finirait par le faire. Ses douces lèvres l'appelaient encore et toujours.

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MessageSujet: Re: « Now, you must wear the cone of shame. » - « I do not like the cone of shame.. »   « Now, you must wear the cone of shame. » - « I do not like the cone of shame.. » Icon_minitimeJeu 21 Juin - 0:35

Pandora Ҩ Rafael
« Olha que coisa mais linda, mais cheia de graça, é ela menina que vem e que passa, no doce balanço, a caminho do mar »


Il avait beau jouer le charmeur brésilien, cette situation ne mettait pas franchement Rafael à l’aise. Certes, il avait toujours eu plutôt conscience de ses atouts, du certain charme que pouvait lui accorder son accent, et d’à quel point son nom le démarquait également de la masse, mais autant dire qu’au niveau relationnel le Serpentard n’avait jamais été des plus doués dans son adolescence, surtout avec les filles. Un peu maladroit, un peu distant, trop attaché à l’avis de papai, il ne pouvait se vanter d’être un gros sentimental, dont les mots doux faisaient frémir les lèvres des belles demoiselles. Pourtant, avec Pandora, il avait envie de se comporter différemment. Non seulement parce que, après plusieurs semaines d’observation anodine, elle lui tombait enfin dans les bras, mais surtout parce que la jeune Poufsouffle avait quelque chose de terriblement… attachant. Souriante et spontanée. Il avait été tellement habitué à voir défiler des « fille de » lors de grands déjeuners dominicaux pompeux, que le naturel de Pandora le rendait complètement fou. Et Merlin, qu’il aimait cette sensation. Cette légèreté.

La provocation n’était pas son fort, comme tout Serpentard il avait même un naturel plutôt fuyard, aussi, à peine son visage détourné, le lien rompu, le brésilien éprouva des regrets. Et bizarrement aussi un peu de soulagement. Il n’avait vraiment aucune idée d’où ce comportement allait les mener. Ni de ce qu’il cherchait vraiment. Mais il ne put s’empêcher de se sentir terriblement lâche. Quel con. Pourtant, la mine déçue de Pandora ne le trompa pas, même s’il n’en laissa rien paraître. Cette moue irrésistible n’éveillait en lui qu’une envie : celle d’un nouveau baiser. Allaient-ils jouer encore longtemps ? S’avouant à lui-même qu’il n’en serait pas capable, Rafael se sentit terriblement vulnérable. C’était bien l’une des premières fois que la confusion embrumait son esprit au point d’y faire régner le chaos le plus total. Etait-il en train de faire les bons choix ? « J’essaie de trouver des clients. Dur en ces temps de crise. » Merlin, il en avait presque oublié ses questions. Un rire s’échappa des lèvres du Serpentard. Ouais, elle est marrante la Pandora. « Je comprends mieux maintenant ! Mais t’as pas froid ? J’te propose pas mon pull alors, ça ferait fuir tes clients potentiels. » Enfin, pour l’instant, pensa-t-il satisfait, elle était à lui. Il se congratula un instant d’avoir été nommé préfet, Merlin, qu’il en aurait ratées des choses dans le cas contraire ! « Dois-je te rappeler que c’est moi qui t’ai trouvé ? » Le brésilien observa amusé la Poufsouffle lui passer devant, avant de lui faire face. Il émit un semblant de toussotement provocateur, comme pour la remettre en cause. « Je ne sais pas pourquoi, mais j’savais que quelqu’un allait passer dans le couloir. » Le troisième œil. C’était bien ça, la caractéristique des Oaken. Ce don incroyable. Si seulement elle savait comment elle avait réussi à le faire tourner en rond, heure après heure, avant de saisir que les prédictions incroyables qu’elle lui avait glissé plusieurs fois au coin de l’oreille, étaient le fruit de ce don ancestral. « Ha oui, Super-Pandora avec ses superpouvoirs » Le garçon mima une espèce de révérence, ne percutant pas un instant que cette ‘banalisation’ du don de la Poufsouffle pouvait peut-être la gêner.
Se redressant enfin il finit par avancer, passant à son tour devant la jeune femme. « Une chance que tu m’ais trouvé moi alors, parce que je peux te jurer que la préfète des Aigles aurait nettement moins apprécié ce manquement au règlement. » Rafa dévoila à son tour sa dentition. Ouais, il aimait bien se lancer des fleurs, de temps en temps. « Et toi, dis-moi, c’est pas frustrant de tourner en rond dans les couloirs plutôt que de passer une bonne soirée avec tes amis ? » C’est qu’elle le provoquait en plus, la vilaine. Le jeune homme continua d’avancer de quelques pas, avant de se retourner vers Pandora qui était restée immobile. Il se mordilla la lèvre avant d’enchaîner « Boh, c’est sympa de se sentir puissant, un peu le Roi du château tu vois ? » Il haussa un sourcil. Il lui était parfois arrivé, sous l’influence de Phoenix par exemple, de manquer à ses devoirs pour aller s’amuser en soirées, mais ce soir, il ne regrettait rien à son sérieux. « Et puis regarde, on peut faire de belles rencontres en se baladant seul, la nuit. » Rafael s’était à nouveau approché de la jeune Oaken. Il n’avait plus vraiment envie de résister. Le brésilien aurait voulu l’entourer de ses bras, sentir sa peau contre la sienne. « Mais bon, c’est vrai que parfois, ça devient un peu long et rébarbatif. » Quelques minces centimètres les séparaient. « Tu crois pouvoir faire quelque chose contre l’ennui ? » Un sourire. Elle le rendait fou.



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